
Chuang Che
De son ouverture sur l’art international, Chuang Che a créé ce qu’il nomme une « troisième voie ». Il la matérialise en mêlant l’huile, l’eau et parfois l’acrylique, ce qui produit des effets de transparence.
De son ouverture sur l’art international, Chuang Che a créé ce qu’il nomme une « troisième voie ». Il la matérialise en mêlant l’huile, l’eau et parfois l’acrylique, ce qui produit des effets de transparence.
L’exposition « Chaotic Harmony » réunit une vingtaine d’œuvres réalisées des années 60 à aujourd’hui. Elle rend compte de l’énergie singulière qui émane des paysages abstraits de Chuang Che, et de ses recherches esthétiques sur la fusion entre l’Orient et l’Occident.
A l’instar de Zao Wou-Ki et Chu Teh-Chun, Chuang Che renouvelle la peinture traditionnelle chinoise en adoptant l’abstraction dès la fin des années 60. Il est aujourd’hui considéré comme l’un des plus importants peintres de cette génération.
Pour cette nouvelle édition de la Kiaf SEOUL, la Galerie Vazieux propose une exposition inédite, intitulée : « Les 3 Lee, une saga coréenne », consacrée au couple d’artistes historiques et engagés que sont Lee Ung-no (1904-1989) et Park In-Kyung (née en 1926) et à leur fils Young-Sé Lee (né en 1956), également artiste. Cette célèbre famille nous plonge dans l’histoire de la Corée d’après guerre et dans le renouveau de la tradition picturale.
Avec son obsession des couleurs éclatantes, vives, comme chez les Nabis, et ses traits très appuyés, Sarah Jérôme nous invite à l’exploration du corps féminin, un corps au contact de la nature qui irradie littéralement la toile avec sa technique d’huile sur calque.
Sarah Jérôme expose ses dernières œuvres à la galerie Sabine Vazieux. Entre peinture, céramique et danse contemporaine, l’artiste investit de nouveaux territoires.
La journaliste Yvonne Tan s’est entretenue avec Young-sé Lee pour la revue anglo-saxonne Asian Art Newspaper.
La technique picturale de ce peintre chinois dépasse sa « double culture »: il invente un style qui lui correspond. (…) Rao Fu fait un usage immodéré des couleurs. Combustion, titre qu’il a choisi pour l’exposition, comprend le surgissement de ces couleurs, un rougeoiement dont la vivacité inquiète.
En découvrant la peinture de Rao Fu, véhémente et expressive, aux couleurs vives et à la gestualité assumée, on pense immédiatement à des artistes incontournables de l’histoire de l’art, à la lisière des XIXe et XXe siècles, comme Edvard Munch, Emil Nolde, Ernst Ludwig Kirchner ou Max Klinger…
L’histoire et l’œuvre de Young-sé Lee sont un pont fertile entre les deux cultures, coréenne où il est né et française depuis qu’il y vit. Son œuvre plurielle – dialogue avec les matériaux, le papier et les encres naturelles – fait de la nature transcendée sa principale source d’inspiration.
Dans le prolongement de son solo show dédié à Young-sé Lee à Art Paris, au Grand Palais Ephémère du 9 au 12 septembre, la Galerie Vazieux présente les grands monochromes du peintre sud-coréen. Blancheur Immaculée, noir Interstellaire, Terre d’argile, bleus cosmiques ou vibratiles… Colorés d’encres végétales et minérales, ses all-over vibrent de mille nuances.
L’histoire et l’œuvre de Young-sé Lee sont un voyage entre deux cultures. La nature qu’il aborde de manière libre et informelle est sa principale source d’inspiration.
Article par Laetitia Bischoff
Revue TK-21
Édition n°118, Mai 2021
—Gaël s’attèle aux icônes, il retravaille leurs mèches et leurs postures, leurs railleries, les gueules aussi. Il ferme les yeux pour se souvenir de Van Gogh ; oui le creux de ses yeux était si noir, ce ne peut être que lui avec un vent de cyprès pour chemise. Pour que la peinture ne sèche jamais, elle boit des visages, elle s’en fait un bain de bouche. Faire crier les profils, faire choir les trous de nez, couler les yeux jusqu’au-dessous des joues. Les cheveux et les globes oculaires guerroient avec le prisme d’un fond coulant ou braillant du vert en tempête. Colorer, raviver, vivre.
Exposition review par Claire Margat
lacritique.org
Paru le 14 mai 2021
—Olivier Kaeppellin a choisi pour l’exposition « Faire face » des portraits parmi les tableaux de Gaël Davrinche, né en 1971, qui se voit ainsi gratifié pour son demi-siècle d’une exposition et d’un catalogue dont le texte ne peut que l’encourager à persévérer dans son être.
L’article par Sophie Reyssat
La revue BOUM!BANG!
Paru le 3 mai 2021
—Gaël Davrinche est un aventurier de la figure humaine qui joue avec ses modèles comme avec la peinture elle-même. Au-delà des apparences, ses portraits interrogent notre humanité et posent un regard décalé sur notre société.
Solo show du 15 mai au 19 juin 2021 à la Galerie Vazieux
Article par Yu Hsiaohwei
Voir (Ch) : Cans Asia Art News
Art Magazine Taïwan – édition N°195, Avril 2021, pp.92-95
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Exposition review par Valérie de Maulmin
Voir : Connaissance des Arts
Édition N° 800, Février 2021, p.112
—Exposition collective du 21 janvier au 27 février 2020 à la Galerie Vazieux
La Gazette Drouot
Paru le 10 décembre 2019
—Solo show du 18 septembre au 07 novembre 2020 à la Galerie Vazieux